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La rotation des stocks

Contributor(s): Material type: TextTextLanguage: French Publication details: Chotard et associés, 1985Description: 191 p. ; 23 cmISBN:
  • 9782712701550
Subject(s):
Contents:
Pourquoi des stocks? Le poids des stocks dans la gestion financière de l'entreprise-- La connaissance et la mesure des stocks-- Le calcul du stock moyen-- Le calcul del a rotation des stocks-- Le suivi des stocks-- L'influence du système de passation des commandes-- L'influence de la périodicité de commande-- L'influence des délais de livraison-- L'influence de taux de service-- L'influence du stockage-- Les actions commerciales--
Summary: Ces 20 dernières années, la distribution a effectué des progrès stupéfiants, une modernisation « éclair » passant du stade, presque artisanal, à celui de l'industrie, avec tout ce que cela comporte comme évolution des technologies, des hommes, du management et de la gestion. Si l'économiste Auguste DETOEUF pouvait dire en 1948 « en France on produit avec des machines et l'on distribue avec des brouettes » il constaterait aujourd'hui que ce retard a été largement comblé. Près de 9 millions de mètres carrés nouveaux ont été créés dans l'alimentaire pour les seules moyennes et grandes surfaces du type superettes, supermarchés ou hypermarchés. Douze mille nouvelles unités ont été créées en vingt ans. Ces trois dernières années, les nombreuses ouvertures de supermarchés ont représenté le quart des unités en fonctionnement au 1er janvier 1985. Une explosion ! Une concurrence exacerbée qui s'apparente aujourd'hui à un cercle infernal. Il n'y a plus de localisation privilégiée, plus de zones protégées, tous les types de commerce sont en concurrence, spécialistes, multispécialistes, centres ville, quartiers, périphéries, zones rurales... les supermarchés discount ne s'effraient plus de la proximité de « l'ogre hypermarché » et bien souvent recherchent cette localisation. L'ère de l'expansion « facile » des chiffres d'affaires est désormais révolue et l'on est brusquement entré en 1983 dans une phase de consolidation du commerce moderne français. La distribution se trouve aujourd'hui dans l'obligation d'affiner sa gestion, de mieux se positionner en terme d'image par rapport à la concurrence à une époque ou les marges commerciales ne cessent de baisser au point que les bénéfices sont réalisés pour une grande part sur les marges dites « arrières » et les produits financiers.
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Item type Current library Call number Status Date due Barcode
Book TBS Barcelona Libre acceso TS160 BER (Browse shelf(Opens below)) Available B04044

Pourquoi des stocks? Le poids des stocks dans la gestion financière de l'entreprise-- La connaissance et la mesure des stocks-- Le calcul du stock moyen-- Le calcul del a rotation des stocks-- Le suivi des stocks-- L'influence du système de passation des commandes-- L'influence de la périodicité de commande-- L'influence des délais de livraison-- L'influence de taux de service-- L'influence du stockage-- Les actions commerciales--

Ces 20 dernières années, la distribution a effectué des progrès stupéfiants, une modernisation « éclair » passant du stade, presque artisanal, à celui de l'industrie, avec tout ce que cela comporte comme évolution des technologies, des hommes, du management et de la gestion. Si l'économiste Auguste DETOEUF pouvait dire en 1948 « en France on produit avec des machines et l'on distribue avec des brouettes » il constaterait aujourd'hui que ce retard a été largement comblé. Près de 9 millions de mètres carrés nouveaux ont été créés dans l'alimentaire pour les seules moyennes et grandes surfaces du type superettes, supermarchés ou hypermarchés. Douze mille nouvelles unités ont été créées en vingt ans. Ces trois dernières années, les nombreuses ouvertures de supermarchés ont représenté le quart des unités en fonctionnement au 1er janvier 1985. Une explosion ! Une concurrence exacerbée qui s'apparente aujourd'hui à un cercle infernal. Il n'y a plus de localisation privilégiée, plus de zones protégées, tous les types de commerce sont en concurrence, spécialistes, multispécialistes, centres ville, quartiers, périphéries, zones rurales... les supermarchés discount ne s'effraient plus de la proximité de « l'ogre hypermarché » et bien souvent recherchent cette localisation. L'ère de l'expansion « facile » des chiffres d'affaires est désormais révolue et l'on est brusquement entré en 1983 dans une phase de consolidation du commerce moderne français. La distribution se trouve aujourd'hui dans l'obligation d'affiner sa gestion, de mieux se positionner en terme d'image par rapport à la concurrence à une époque ou les marges commerciales ne cessent de baisser au point que les bénéfices sont réalisés pour une grande part sur les marges dites « arrières » et les produits financiers.

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